Faire une surélévation de maison (ajouter un étage ou rehausser la toiture) est un projet ambitieux et technique. Il permet de gagner de la surface, sans empiéter sur le terrain, mais il comporte de nombreux pièges. Voici les 7 principales erreurs, malheureusement, couramment observées…
Erreur n°1 : Négliger l’étude de faisabilité
L’une des erreurs les plus fréquentes est de vouloir surélever la maison, sans vérifier si la structure existante peut supporter la charge supplémentaire. Pourtant, cette négligence peut avoir de lourdes conséquences : fissures, affaissement des fondations, voire danger pour la stabilité du bâtiment.
Il est essentiel de faire réaliser une étude de structure par un bureau d’études compétent, avant d’initier tout projet. Dans la région de Rodez, le courtier en travaux, Guillaume Vialettes, compte plusieurs professionnels sérieux pour vous accompagner.
Erreur n°2 : Oublier les démarches administratives
Aucune surélévation de maison ne doit démarrer sans autorisation – que ce soit par l’obtention d’un permis de construire ou d’une simple déclaration préalable de travaux. Le risque, inhérent à cet oubli, est une amende, voire une obligation de démolir la surélévation. Le cas échéant, il peut arriver que cela entraîne un freinage ou un blocage de la revente, le temps de la régularisation (vérification de la conformité).
Erreur n°3 : Ne pas consulter le PLU (Plan Local d’Urbanisme)
Un projet de surélévation de maison ne peut pas ignorer les règles locales (hauteur maximale, aspect de la toiture, matériaux imposés). En effet, certains quartiers peuvent interdire les toitures-terrasses ou imposer des tuiles spécifiques. Il convient de consulter le PLU (Plan Local d’Urbanisme) à la mairie, avant de dessiner les plans.
Erreur n°4 : Sous-estimer le budget global
Le concours d’un courtier en travaux peut être précieux, car de nombreux projets naissent en ne prévoyant que le coût de la construction. Or, une surélévation de maison suppose de budgéter des études techniques (structure, géotechnique, thermique), une isolation et des finitions intérieures, une mise à niveau des réseaux (électricité, plomberie), sans compter les honoraires d’architecte et autres frais administratifs.
Au-delà de ces coûts généraux, Guillaume Vialettes conseille de prévoir une marge de 10 à 15 % pour couvrir les imprévus, car un budget bien calibré, dès le départ, est un vrai gage de sérénité pour la conduite des travaux.
Erreur n°5 : Mal choisir l’entreprise ou l’architecte
Une autre erreur couramment observée est de confier le projet à une entreprise non spécialisée. Il convient de vérifier systématiquement ses références et réalisations, son assurance décennale, ainsi que son expérience en surélévation (techniquement plus complexe qu’une construction neuve).
Là encore, Guillaume Vialettes dispose d’un précieux carnet d’adresses, recensant les professionnels des différents corps de métier, nécessaires à ce type de projet, ayant tous signé la Charte Qualité de l’enseigne La Maison Des Travaux.
Erreur n°6 : Négliger l’étanchéité et l’isolation
Il existe une erreur spécifique en surélévation de maison : celle de ne pas traiter correctement les raccords, entre l’ancien et le nouveau bâti. Pourtant, les conséquences sont éminemment lourdes : condensation, ponts thermiques, infiltrations, fragilisation de la structure… Il s’agit de faire attention aux jonctions mur/toiture et d’utiliser des matériaux performants (isolation par l’extérieur, membranes étanches).
Au-delà des considérations purement techniques, un courtier en travaux veillera à la bonne intégration de ce nouvel étage, afin qu’il ne dénature pas le style de la maison ou du voisinage.
Erreur n°7 : Ignorer la performance énergétique
Enfin, il serait dommage de ne pas profiter de la surélévation, pour ne pas améliorer l’isolation thermique existante (isolation toiture, fenêtres, chauffage). Guillaume Vialettes peut vous accompagner dans l’obtention des aides financières de l’État et des collectivités territoriales, pour optimiser cet investissement (MaPrimeRénov’, TVA réduite, etc.).
